
Ce qu’il en dit :
« En mettant en scène ces matériaux mis au rebut, je parle de notre époque, je me sens en osmose avec elle… Mes machines sont lentes, elles fonctionnent avec de petits moteurs, elles prennent le temps d’être… Il y a une vingtaine d’années, il m’arrivait de peindre mes chaussures et je continue encore en les installant souvent au premier rang dans mes mises en scène… Il faut peu de choses pour rendre presque humaine une chaussure…j’essaie de lui donner un peu de noblesse… Les chaussures, on n’y pense que quand elles font mal…
http://dargoarts.blogspot.com/2017/03/gerard-visser-poete-mecanique-dargoire.html