
Poussé par mes parents, j’ai débuté en 1979, en Lot-et-Garonne. Issu de l’école des beaux-arts de Bordeaux, je suis resté amateur durant quelques années avant d’exposer dans des galeries, à Lyon et Paris. Mais je m’ennuyais dans cet univers élitiste. Je suis reparti dans mon univers imaginaire. D’abord, avec «Le Loire Circus», puis dans «La forêt magique», au «Pont au Médusa» où j’ai peint sur les toiles géantes des bateaux de pêche. Je viens de finir «Une Étrange Fête foraine», un village forain d’antan à La Rochelle. Saint-Sever, c’est pour moi une renaissance. Je la dois à Colette et à Jean-Pierre Curdi. Relever le challenge qu’ils m’ont donné m’a boosté.