Henry Sarla
Henry Sarla

« Henri Sarla est né à Mons (Belgique) en 1959. Il vit et travaille près d’Ostende. Il a enseigné le dessin et travaillé dans l’industrie graphique. Il peint depuis 2002, et depuis 2009 expose en galerie et participe régulièrement à des salons internationaux.
Ses travaux ont pour origine des images anciennes, qui sont transformées et ré-assemblées par ordinateur avant de trouver leur forme définitive sur la toile.
La peinture d’Henri Sarla se veut représentation subjective d’un passé filtré par la mémoire et l’inconscient. Personnages et objets emblématiques, scènes familiales, espaces déserts, paysages urbains: souvenirs, vrais ou faux, fantasmés, mis en scène en des images figées, parsemées de références à la photo amateur.

Aussi inscrits soient-ils dans une époque précise (que connotent les architectures, la mode vestimentaire et ces voitures qu’on dirait stationnées là pour toujours), les souvenirs balnéaires, les autoroutes et espaces urbains désertés comme après la fin du monde sont moins, chez Sarla, des vecteurs de mémoire et de nostalgie que d’une étrangeté presque onirique.»
Thierry Horguelin, écrivain et bloggeur

«Une peinture pleine de poésie qui nous plonge dans une reconstitution fantasmée des années cinquante et soixante.»
Miroir de l’Art n° 71

Henri Sarla
Henri Sarla

«Aussi inscrits soient-ils dans une époque précise (que connotent les architectures, la mode vestimentaire et ces voitures qu’on dirait stationnées là pour toujours), les souvenirs balnéaires, les autoroutes et espaces urbains désertés comme après la fin du monde sont moins, chez Sarla, des vecteurs de mémoire et de nostalgie que d’une étrangeté presque onirique.» Thierry Horguelin, écrivain et bloggeur (locus-solus-fr.net)

Henri Sarla vit près d’Ostende, a enseigné le dessin et travaillé dans l’industrie graphique. Il peint depuis 2002. Depuis 2007, il expose en galerie et participe régulièrement à des salons internationaux.Ses travaux ont pour origine des images anciennes, qui sont transformées et réassemblées par ordinateur avant de trouver leur forme définitive sur la toile. Ses lignes directrices sont la recherche de lumière et l’économie de moyens.La peinture d’Henri Sarla se veut représentation subjective d’un passé filtré par la mémoire et l’inconscient. Personnages et objets emblématiques, scènes familiales, espaces déserts, paysages urbains: souvenirs, vrais ou faux, fantasmés, mis en scène en des images figées, parsemées de références à la photo amateur.

Henri Sarla werd geboren in Mons. Hij gaf tekenles en was werkzaam in de grafische sector. Hij woont en werkt in Oostduinkerke. Sedert 2002 is hij schilder; hij stelt tentoon sedert 2007.Voordat het definitief vorm krijgt op het doek, vertrekt zijn werk van oudere afbeeldingen die herkaderd, veranderd en terug samengesteld worden met behulp van de computer.Hij streeft naar een subjectieve weergave van een door het geheugen en het onbewuste gefilterd verleden. Herinneringen, ware of fictieve, in scene gezet in verstilde beelden, doorweven met referenties naar de amateur-fotografie.

Henri Sarla was born in Belgium in 1959. He started his career teaching art to disabled children and then entered the graphic industry. In 2002, he started to paint with oil, a technique which he learned thanks to an intensive practice and the reading of ancient manuals. During the following years, he experimented with various ways of doing, from the glacis technique of the Flemish Primitives to the impressionist techniques.One finds in his paintings a refusal of useless details, as well as a marked interest in composition, developed through his job as graphic designer and his many years practicing photography.Fascinated by empty spaces, time and memory, Henri Sarla showed us the abandoned architectures of the seaside resorts along the North Sea. Austere marines, lines of horizon, lines of waves, puddles of grey water, and in the foreground, sometimes a breakwater or a dyke, and a few elements of urban furniture, the only clues of a human presence.His works have as model amateur photographs which were re-worked by numerous sketches and re-composed by computer, and then painted in muted tones. Despite the nearly-obsessive references to the Belgian coast of the 1960’s and 70’s, the overwhelming impression in those works is that of a universe where the spatial and temporal marks fade away.

Henri Sarla
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