helene courtois-redoute
helene courtois-redoute

« Des nus, aux natures mortes en se promenant par les paysages, les œuvres d’Hélène Courtois-Redouté sont empreintes d’une douceur et d’une lumière très féminine. Séduisante sans être aguicheuse, sa peinture parle aussi du Sud et d’une certaine douceur de vivre. Les couleurs feraient presque penser à certains tableaux de Gauguin, tant la lumière y est vibrante. »

helene courtois-redoute
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Née en 1963 à Metz, Hélène Courtois-Redouté obtient en 1987 son diplôme de l’Ecole Nationale des Beaux-Arts de Nancy, puis travaille – en région Ile-de-France – en agences de communication, en tant que graphiste / illustratrice / directrice artistique indépendante. Elle expose des pastels et encres dans différents salons et galeries de sa région.
Elle ne débute l’huile qu’en 2010 et son travail de peintre s’étoffe alors : paysages, arbres, objets du quotidien : pots, fruits… Sa peinture, d’inspiration classique, s’enrichit et devient plus exubérante : drapés, plissés, branches et feuilles s’y entremêlent.
Elle vit et travaille depuis 2014 entre Paris et Dinan (22).


Revenue à la peinture de chevalet, sans pour autant renier ses talents de graphiste, la sage Hélène s’astreint à une série de « Silences » : bols, flacons, vases, etc, témoins modestes de son univers, tout en exécutant quelques grands nus, prenant son entourage en otage. Elle renoue ainsi, à son grand bonheur, avec la toile.
La forêt de Fontainebleau, les monts d’Ardèche et les côtes bretonnes lui offrent, au détour de randonnées, un nouveau sujet : les arbres et leur présence.  Des arbres sereins et forts, mais parfois impétueux, ou encore luttant contre les vents. Des arbres qui s’accrochent aux pentes et se démènent dans la lumière qui fouille leurs branchages entremêlés. D’aucuns y verront une métaphore de la condition humaine. Dans la quiétude de son atelier, enfin, les pommes de son jardin conservées durant l’hiver sont un sujet fort, offrant une gamme de volumes lisses, ridés ou tavelés.

Hélène Courtois-Redouté, le bonheur de peindre. Quoiqu’une sourde inquiétude transparaisse sous ses pinceaux…

Roland Bichac, avril 2017

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